Identifier précisément le moment où l’on bascule de l’usage « normal » à un usage pathologique des écrans n’est pas chose facile.
La raison principale en est que pour ce type de problèmes comportementaux, il n’est pas pertinent de définir un seuil, un nombre d’heures à partir duquel on entrerait dans une zone à risque…
En effet, l’excès ne peut être réduit à ce qui dépasse le nécessaire, mais doit plutôt être défini en fonction de son impact sur la vie de chacun.
Quoi de plus naturel de vous orienter vers cette campagne d’information ( cliquez ici ) , vous personnel de DIM , qui passer la journée sur votre écran 14 pouces ou mieux si votre employeur est généreux …