« Santé publique France » a vu le jour en mai 2016.
En regroupant l’Institut de veille sanitaire (InVS), l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes), l’Établissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires (Eprus) et le groupement d’intérêt public Addictions Drogues Alcool Info Service (GIP Adalis), l’Agence a créé les conditions d’un continuum entre ses directions et ses différents métiers.
« Santé publique France » publie son premier rapport annuel pour 2016 en ligne au format interactive
Parmi les actions menées par Santé publique France pour la santé publique , citons :
- la plateforme numérique e-Do permet aux cliniciens et biologistes de notifier les maladies infectieuses à déclaration obligatoire par voie logicielle ;
- l’établissement pharmaceutique Santé publique France est chargé d’anticiper les crises sanitaires en gérant les réserves stratégiques de produits de santé ;
- le dispositif de surveillance épidémiologique des maladies infectieuses a été mis en place pour prévenir la France de l’épidémie du virus Zika ;
- le programme de surveillance des maladies à caractère professionnel (MCP) sur la santé au travail a été mené autour du burn out ;
- l’agence a mis en œuvre une campagne de communication pour mettre en exergue la diversité des outils de prévention et leur utilisation à travers différents moments de vie des hommes qui ont des relations sexuelles avec des hommes, notamment avec la création du site Sexosafe.fr ;
- une étude d’imprégnation de la population autour d’anciens site miniers, dont les résultats seront disponibles fin 2017, est suivie avec l’ARS Occitanie ;
- le site mangerbouger.fr présente de nouvelles recommandations sur l’activité physique à pratiquer quotidiennement.